Divorce : une plateforme en ligne pour aider les parents

Publié le 14/06/2019 - 16:31
Mis à jour le 14/06/2019 - 16:52

convention parentale de séparation • Divorcer reste parfois complexe pour les parents. Grâce à la plateforme Plume, installée à Besançon et encadrée par des avocats du cabinet Coda, vous pouvez mettre en place une organisation efficace et optimale autour des enfants.

 ©
©

Communiquer sans se parler, c’est désormais possible. La plateforme Plume vient en aide aux parents qui divorcent. Le but ? Déconstruire le conflit et ouvrir un certain dialogue. Grâce à cette plateforme en ligne, les avocats veulent éviter les disputes ainsi que les procédures longues et coûteuses. Cette idée permet aux parents de rédiger eux-mêmes leur convention parentale de séparation ainsi que leurs requêtes au juge. Choix de la résidence, droit de visite, mode de garde, contribution financière sont au programme sur cette plateforme. Le réel objectif ? Trouver des solutions concrètes et adaptées aux souhaits de chacun.

Des solutions multiples selon le degré d’entente

Cette plateforme n’oublie aucun détail, en effet elle prend en compte le rythme des familles, les contraintes de chacun et l’intérêt de l’enfant. Un outil ingénieux qui apporte gain de temps, économie d’argent et surtout sérénité. Comment faire si le dialogue est fermé ? Plusieurs solutions existent pour remédier à cela.

  • Si les parents divorcés sont en parfaite harmonie, une convention parentale est rédigée en fonction des décisions prises à deux.
  • Si l’entente est moyenne, un parent pourra proposer des solutions sur la plateforme. L’autre parent pourra amender ou notifier les propositions, pour arriver à un accord final.
  • En cas de rupture de dialogue, chaque personne remplira seule son dossier, et par la suite saisir le juge des affaires familiales et lui remettre la requête judiciaire éditée par

+ d’info :

  • Le coût est de 150 € pour ouvrir une convention parentale de séparation ou une requête judicaire.
  • Une communication avec un avocat est possible, à raison de 60 € les 20 minutes
Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Justice

Statue de Jenny d’Héricourt à Besançon : le procureur de la République ouvre une enquête

Le Mouvement Franche-Comté a annoncé le 18 novembre 2025 par voie de communiqué, que le procureur de la République a décidé d’ouvrir une enquête à la suite d’une plainte déposée pour des faits de favoritisme concernant la statue de Jenny d’Héricourt installée place de la Révolution à Besançon depuis le 5 mars dernier.

Affaire Fousseret-Cordier : Anne Vignot se joint à la demande d’appel du parquet

Le 5 novembre dernier, le tribunal correctionnel avait prononcé la relaxe de l’ancien maire Jean-Louis Fousseret et Alexandra Cordier pour prises illégales d’intérêt et détournement de fonds publics. Le parquet avait aussitôt déposé une demande d’appel du jugement le 7 novembre 2025. Représentée par Anne Vignot, la Ville de Besançon a suivi le parquet dans la demande d’appel. 

“Absence systématique” : Péchier mis en cause pour son désengagement lors des réunions sur les cas suspects

"L'absence systématique" de Frédéric Péchier aux réunions organisées pour discuter des arrêts cardiaques suspects dans une clinique de Besançon où il travaillait était vendredi 14 novembre 2025 l'objet du douzième interrogatoire de l'accusé, jugé pour 30 empoisonnements, dont 12 mortels, par la cour d'assises du Doubs.

Procès Péchier : l’accusé conteste le récit d’une patiente

"Elle a pu se tromper" : le Dr Frédéric Péchier, jugé à Besançon pour avoir empoisonné 30 patients dont 12 sont morts, a fermement contesté lundi 10 noveùbre 2025 devant la cour le récit d'une patiente victime en 2015 d'un arrêt cardiaque au bloc, et qui a raconté qu'il était venu à son chevet juste avant son anesthésie.

Le parquet de Besançon fait appel après la relaxe de Jean-Louis Fousseret et d’Alexandra Cordier

Le parquet de Besançon a annoncé, ce vendredi 7 novembre, sa décision de faire appel du jugement ayant conduit à la relaxe de l’ancien maire de Besançon, Jean-Louis Fousseret, et de son ex-collaboratrice, Alexandra Cordier. Tous deux étaient poursuivis pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics dans une affaire datant de 2019.

Jean-Louis Fousseret et Alexandra Cordier relaxés par le tribunal correctionnel de Besançon

Le parquet de Besançon avait été saisi en juillet 2024 d’un signalement de la procureure financière de la Chambre régionale des comptes de Bourgogne-Franche Comté. Ce signalement a été effectué à l’issue du contrôle des comptes et de la gestion de la commune de Besançon, qui a révélé des faits susceptibles, selon la procureure, de constituer une prise illégale d’intérêt et un détournement de fonds publics. Le tribunal correctionnel de Besançon a relaxé Alexandra Cordier et Jean-Louis Fousseret ce 5 novembre 2025.

Procès Péchier : après les arrêts cardiaques, la cour sur la piste du crime par hémorragie   

"L'empoisonneur" a-t-il voulu changer de méthode pour moins attirer l'attention? Au procès de l'ex-anesthésiste Frédéric Péchier, les assises du Doubs ont commencé jeudi 23 octobre 2025 à examiner deux cas qui dénotent parmi les 30 retenus au total : les patients concernés n'ont pas subi un arrêt cardiaque, mais une hémorragie massive.

Procès Péchier : l’ex-anesthésiste n’hésite pas à enfoncer l’une de ses collègues

Empoisonner des patients au bloc opératoire pour nuire à l'anesthésiste chargée de les endormir? "C'est délirant", a balayé mercredi 22 octobre 2025 devant la cour d'assises de Besançon l'accusé Frédéric Péchier, sans cacher pour autant son peu d'estime pour la collègue concernée.

Nicolas Sarkozy est arrivé à la prison où il sera incarcéré, une première historique

L'ancien président Nicolas Sarkozy a quitté mardi matin son domicile pour se rendre à la prison parisienne de la Santé pour y être incarcéré, près d'un mois après sa condamnation pour association de malfaiteurs dans le procès libyen, une détention inédite dans l'histoire de la République. Une demande de mise en liberté a d'ores et déjà été déposée par ses avocats.

Au procès Péchier, une anesthésiste “dévastée” par l’arrêt cardiaque de ses patients

Autrefois "pétillante", elle a quitté la clinique "dévastée" après l'empoisonnement présumé de sept de ses patients: le "lourd tribut" payé par une ancienne collègue de Frédéric Péchier, qu'il aurait en outre voulu évincer, a été au centre des débats lundi 20 octobre 2025 devant la cour d'assises du Doubs.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 4.55
couvert
le 19/11 à 12h00
Vent
4.53 m/s
Pression
1012 hPa
Humidité
76 %