Marbrier funéraire, un métier qui a évolué au fil des ans…

Publié le 29/10/2024 - 08:00
Mis à jour le 29/10/2024 - 16:49

Dans le cadre des vacances de la Toussaint, nous nous sommes intéressés à un métier funéraire. Benjamin Franzi, marbrier de profession, nous en parle…

Marbrier depuis une vingtaine d’années, Benjamin Franzi a été immergé dans cet univers dès son enfance avec son père, lui-même marbrier. En plus de son activité de marbrier funéraire, il tient également depuis un an une agence de conseil funéraires aux côtés de Quentin Quinnez, conseiller funéraire et de leur stagiaire Élodie.

Un métier qui se perd ?

Benjamin Franzi a commencé ce métier en apprenant les gestes de son père. Au fil du temps, le métier ayant évolué, il passe désormais principalement par des commandes pour recevoir les monuments funéraires (tombes). "Le marché a changé et le coût de production est relativement important (…) il y a donc majoritairement de la fabrication étrangère dans le métier. Toutefois, je privilégie la fabrication française le plus possible", nous explique Benjamin Franzi.

Ce procédé permet de diversifier les propositions pouvant être effectuées pour les clients notamment au niveau des dessins. Toutefois, Benjamin Franzi effectue les dernières retouche comme le polissage ou encore la gravure dans son atelier situé à Châtillon-le-Duc. Son oncle, Alain Franzi intervient encore manuellement pour graver le marbre sur place dans les cimetières "cela permet de ne pas déplacer de monument existant", nous précise-t-on.

(Plus d’informations dans la vidéo)

Le conseil de l’agence lors d’un décès

"Il ne faut pas se laisser orienter dans le choix des pompes funèbres. Un libre choix est laissé aux familles. Les pompes funèbres doivent être transparentes au niveau des prix. En parler avant la mort, ne fait pas mourir. Un devis estimatif peut être effectué", conseille Quentin Quinnez.

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Société

Faut-il remplacer son permis de conduire rose cartonné par un nouveau modèle ?

Si depuis le 16 septembre 2013, les nouveaux conducteurs sont équipés du permis de conduire au format carte bancaire, nombreux sont ceux qui possèdent encore un permis de conduire pliant trois volets "rose cartonné". Alors doit-on remplacer ce dernier par un nouveau modèle ? On fait le point avec le site officiel de l’administration française service-public.fr.

Pontarlier : les agriculteurs attachent un cadavre de génisse à la sous-préfecture du Doubs

Une soixantaine d'agriculteurs ont exposé un cadavre de génisse tuée par une attaque de loups devant la sous-préfecture de Pontarlier samedi 9 novembre 2024 en fin de matinée, pour protester contre le refus des services de l'État de réaliser des tirs de défense, ont annoncé la FDSEA et les Jeunes agriculteurs du Doubs. 

Seulement 26% des rivières de Bourgogne Franche-Comté en bon état écologique

L’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse a convoqué la presse ce vendredi 8 novembre 2024 pour livrer un état des eaux du bassin Rhône-Méditerranée, auquel les rivières et nappes souterraines de Bourgogne Franche-Comté font partie. Pour ce nouveau rapport, plus de 6,5 millions de données annuelles ont été collectées sur les rivières, les eaux souterraines et les lacs du bassin concerné.

Cent-dix auteur(e)s de Bourgogne Franche-Comté retracent l’Histoire et des histoires de la région

L’université de Franche-Comté et la Région Bourgogne Franche-Comté ont lancé jeudi 7 novembre 2024 à la Maison des sciences de l’Homme et de l’Environnement de Besançon, un livre intitulé Histoire(e) de Bourgogne Franche-Comté - Fragments d’un territoire*. Un ouvrage de 367 pages qui est le fruit d’un travail collaboratif ayant fédéré des chercheurs de l'ensemble de la région.

Six enfants malades enfilent leur toque pour pâtisser à la Maison Baud

Ce mercredi 6 novembre était la journée choisie par le réseau des Traiteurs de France pour tenter de redonner le sourire à des enfants hospitalisés, en les accueillant le temps d’un atelier pâtisserie. À Besançon, la Maison Baud a accueilli un groupe d’enfants dans son laboratoire…

Pose de la première pierre du village d’enfants à l’ancien haras de Besançon

Comme nous vous l’avions annoncé le 24 octobre dernier, l’ancien haras de Besançon situé rue de Dole va devenir un village d’enfants dès 2026. Il accueillera des mineurs orphelins ou placés car sans protection parentale. Afin de concrétiser les choses, une première pierre a été posée ce 7 novembre 2024 en présence d’élus du département, de l’association "Sos villages d'enfants", de donateurs et d’acteurs ayant eu un lien avec le lieu par le passé.

Élection de Trump : Allenbach invite à “faire une pause” en matière de politique environnementale et climatique à Besançon

Dans un communiqué publié à la suite de la réélection de Donald Trump comme 47e président des États-Unis le 6 novembre 2024, le président du Mouvement Franche-Comté, Jean-Philippe Allenbach, a fait le parallèle avec la politique environnementale menée actuellement par la Ville de Besançon.

À Besançon, la gendarmerie s'équipe d'une nouvelle brigade

Dans le cadre du déploiement national de 200 brigades mobiles de gendarmerie, un temps a été pris mardi 5 novembre 2024 avec les acteurs locaux pour inaugurer celle installée depuis le mois de mai à Besançon. Sa mission est double : mener des patrouilles en périphérie de Besançon, mais surtout mettre l’accent sur la lutte contre les violences intrafamiliales et notamment des mineurs.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 7.56
couvert
le 12/11 à 12h00
Vent
5.03 m/s
Pression
1023 hPa
Humidité
91 %