L'élu proche d'Éric Alauzet tire la sonnette d'alarme ce mois d'août : "Les marquages , l'affichage sauvage, les graffitis ou tags contribuent à la sensation de saleté de l'espace public et génèrent un sentiment d'insécurité", explique-t-il dans une lettre adressée à la maire de Besançon.
Il ironise : "Nul doute que le groupuscule nationaliste à l'origine de ces actions tremblera devant le courrier de rappel à la loi de Madame Zehaf".
Comme solution il propose :
- Une augmentation du nombre de panneaux d'affichage libres réservés à l'affichage associatif ou politique
- La création de murs d'expression livre destinés au graff de rue
- Le durcissement du montant des amendes
- Un dépôt de plainte systématique et l'utilisation de la vidéosurveillance
- La prise en charge intégrale des coûts réels de nettoyage par celui qui dégrade