Selon le rapport de cette commission que Le Parisien-Aujourd'hui en France s'est procuré en exclusivité, "le réseau n'a pas bénéficié des investissements nécessaires en particulier le renouvellement de son matériel roulant" dont l'essentiel n'a pas été changé depuis 30 ans. Conséquence, "la qualité de l'offre s'est continuellement dégradée (...), les temps de parcours ont sensiblement augmenté et la régularité a régressé".
Les ligne Belfort-Paris semble maintenue mais les fréquences passeraient de 13 à 7 jusqu’à Troyes et de 4 à 2 jusqu’à Belfort.
La ligne Dijon-Reims est en sursis.