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Le MFC appelle « tous les politiques de la région ainsi que les associations de frontaliers à s’impliquer directement et au plus vite dans ce débat afin d'éviter cette guerre fiscale déclenchée par Paris car nos travailleurs frontaliers, situés en première ligne, en seraient évidemment les premières victimes avec pour conséquence directe une explosion du chômage en Franche-Comté », estime Jean-Philippe Allenbach.
En effet, estime-t-il, « si Paris dénonce les accords existants, alors les salaires des frontaliers seront doublement imposés (par la Suisse et par la France) et, n’ayant plus aucun intérêt à travailler en Suisse, ils reviendront en Franche-Comté pour s’inscrire à Pôle emploi ».