En prenant connaissance de la situation, la Fondation Brigite Bardot avait proposé à la direction départementale de la protection des populations de récupérer l'ensemble du cheptel tout en plaçant les bovins en quarantaine en raison de la fière catarrhale. Depuis 2013, l’éleveur refusait de réaliser les prophylaxies obligatoires sur son bétail, expliquant pourquoi les services vétérinaires bloquaient ses mouvements d'animaux sauf sous laissez-passer vers l'abattoir.
Sur 250 bêtes, 200 devraient être abattues vendredi dans la journée alors que la fondation Brigitte Bardot avait trouvé des solutions d'accueil et de mise en quarantaine dans une dizaine d'endroits pour l'ensemble du cheptel.
Finalement, seuls 50 bovins écartés par la filière pourraient être pris en charge par la fondation. Une décision qui émeut également l'association Humanimo qui a lancé un appel sur sa page Facebook.