Le conseiller général mis en cause par une salariée qu'il a lui-même embauchée il y a six ans à l'ADMR du Jura (services à domicile) a été libéré en milieu de journée mardi, mais les investigations se poursuivent.
Selon la jeune femme, le viol aurait eu lieu le 19 octobre. Des médecins ont relevé des marques de griffures sur le bas de son dos.