Le tribunal de commerce, qui a accepté un répit de 15 jours, réexaminera le dossier le 12 avril. La réunion en préfecture, jeudi à Besançon, n’a pas dégagé de piste sérieuse de reprise de cette entreprise créée en 1883.
La CGT met en cause la gestion de M.Soenen et « sa capacité manifeste à l’enrichissement personnel ». Les salariés ont décidé de poursuivre la production afin de maintenir l’outil de travail en état.