L'autopsie pratiquée ce mardi sur le corps de Richard Delarrat n'a pas permis de découvrir avec certitudes les causes de sa mort. Il pourrait s'agir d'une noyade mais des examens complémentaires ont été demandés par les médecins légistes.
Aucunes traces de coups, d'armes à feu ou de strangulation n’ont été constatés sur le corps de celui qui avait disparu depuis le 31 mai et qui a été repêché sur les bords du Doubs dimanche dernier vers 18 h à la limite entre les communes de Beure et Besançon.