Selon les statistiques, "plus vous êtes jeunes, plus ce genre de situation se répète, car à ces âges, on apprend plus difficilement les leçons – et les groupes de jeunes ont tendance à voir d'un mauvais œil celui qui refuse une nouvelle tournée" rapporte le site de Libération.
C'est Adam Winstock, psychiatre londonien qui pose de genre de question pour le Global drug survey à laquelle Libération est associé avec l'association française pour la réduction des risques liés aux usages de drogues (AFR).
Participer à l'enquête (confidentiel et anonyme)
Ce type d'enquête de s'arrête pas à l'alcool, mais à de nombreuses autres pratiques. Tout le monde peut y participer (anonyme). Elle s’achèvera le 20 décembre. Vous êtes concernés si :
- vous fumez des cigarettes ;
- vous prenez des antidépresseurs (voire vous en abusez) ;
- vous faites de la gonflette musculaire en utilisant des petites pilules (ou des grosses) ;
- vous cherchez à mincir ou à vous éclaircir la peau avec des produits plus ou moins efficaces ;
- vous faites la fête avec des produits psychotropes (cannabis, MDMA, ecstasy, etc.) ;
- vous vous défoncez avec du gaz hilarant ;
- vous vous donnez un coup de fouet avec de la cocaïne ;
- vous naviguez sur Internet pour acheter des drogues pas très légales...
Et si vous avez arrêté de prendre des drogues, cela intéresse aussi la GDS, dont l’ambition est de donner la parole aux principaux concernés (les usagers) pour mieux comprendre leurs pratiques et ainsi établir de meilleures règles de précaution.
4.700 personnes en France ont déjà répondu au questionnaire.
(Source : Libération)