D’un côté il y a le sport : une saison exceptionnelle du BRC, la recrue intelligente de Julien Perrin au moment opportun, la cohésion d’une équipe et la montée méritée en national pour la saison 2009-2010.
De l’autre côté, il y a l’argent et un budget qui affiche un passif de 240 000 euros et la DNCG, le gendarme financier des clubs sportifs qui ne lâche rien. Après 45 minutes de tractations ce mardi matin, le BRC et son président Vincent Diaz est reparti avec une mission : rééquilibrer son budget d’ici la fin du mois. Pour l’instant le BRC est interdit de monter en National mais le club va évidemment faire appel, le temps de trouver des financements.
Quand le sport et argent ne font pas forcément 2
A la date du 9 juin, il reste donc trois semaines au BRC pour fédérer tous ses partenaires dont la ville de Besançon. Le BRC attend avec impatience le résultat du conseil municipal de Besançon qui doit statuer jeudi sur les « subventions aux associations sportives ».
Ce 11 juin s’annonce capital pour le Besançon Racing Club qui attend, entre autre, un bon coup de pouce de la ville de Besançon. Pour le BRC, « Il n’y a pas de raison que nos partenaires nous lâchent au moment ou nous avons besoins d’eux ».
