Dans la nuit de jeudi à vendredi, les graffitis supposés favorables au Front national ont été désavoués par des sigles anarchistes les recouvrant, accompagnés parfois d’un texte incitant le lecteur à s’écarter de l’extrême droite, ou insultant sans détours le parti de Marine Le Pen.
Le forfait a été principalement commis à l’aide de marqueurs et de bombes peinture, et ce sont encore les portes, murs et plafonds qui ont subis cette « guerre des tags », qui ne fait évidemment pas l’unanimité auprès du voisinage et de l’office HLM.