INSOLITE !
Ce sont des recherches ADN conduites sur le dit sous-vêtement, retrouvé sur les lieux de l'effraction par les enquêteurs, qui ont permis d'accuser cet
homme originaire de Roumanie, déjà connu des services de police, selon une information d'un quotidien régional.
Le cambrioleur s'était introduit en septembre 2013 dans les locaux de l'ancienne usine Souchon d'Auvergne, située à Saint-Maurice-de-Lignon, pour y dérober des batteries et des fils de cuivre.
Il ne se s'est pas présenté mardi à l'audience, où il devait comparaître libre, et n'a donc pas pu expliquer les raisons de cet oubli pour le moins incongru. Outre sa condamnation à de la prison ferme, un mandat d'arrêt a également été délivré à son encontre.