Jean-François Longeot dit "partager l’inquiétude des maires ruraux quant au devenir de la commune véritable cellule de base de notre démocratie".
Il est le seul sénateur de Franche-Comté à avoir voté contre le Projet de loi NoTRE.
Il s’oppose :
- aux seuils démographiques pour la constitution d’une intercommunalité et plus spécifiquement celui de 20 000 habitants inscrit dans le Projet de loi de NoTRE,
- au vote au suffrage universel direct au Conseil communautaire,
- au transfert obligatoire de certaines compétences (eau, assainissement…) des communes aux intercommunalités.