Selon Sophie Montel, ces cours de langues empêcheraient l'apprentissage du français aux enfants issus de familles immigrées et leur intégration dans notre société : "Nul ne peut en effet, ignorer que l’assimilation ou tout le moins l’intégration de personnes d’origine étrangère passe par l’apprentissage de la langue du pays d’accueil, en l’occurrence ici le français… La maîtrise de notre langue étant évidemment le vecteur premier de l’assimilation" indique-t-elle.
Elle déclare également que "la langue de Molière subit toutes les attaques possibles" et que "ces coups incessants portés à notre langue sont d’ailleurs autant d’attaques portées à l’unité de notre Nation et à la vraie cohésion sociale…"