En soutien
La présidente de Région y rappelle que la mission gouvernementale mise en place au premier semestre 2013, afin d'évaluer les enjeux associés à la fin du droit d'option, "a réalisé un excellent travail de diagnostic" mais que les solutions qu'elle a proposées "ne sont pas parvenues à satisfaire les frontaliers et les organisations qui les représentent."
C'est pourquoi le président de la GTE, Michel Charrat, a demandé un entretien auprès de la Présidence. Une demande envers laquelle elle sollicite sa bienveillance, précisant à François Hollande qu'il lui semble nécessaire de "privilégier la négociation lorsque les demandes sont portées par des interlocuteurs crédibles et responsables."