Ces conditions exceptionnelles alliant faibles pluies et températures élevées ont "entraîné un assèchement extrêmement précoce des sols superficiels sur la quasi-totalité du pays", constate Météo France. Seules exceptions enregistrées, les régions méditerranéennes, où le printemps a été plus normal.
La température moyenne relevée en France lors des mois de mars, avril et mai a été supérieure d'environ 2,6 degrés à la moyenne de référence établie sur la période 1971-2000. Les deux autres saisons les plus chaudes de ces dernières années ont été les printemps de 2007 (+2,1°C) et 2003 (+1,8°C).