La ministre a retracé le brillant parcours du professeur Éric Martin au sein de l’Université française, où il a notamment procédé à la création de trois écoles d’ingénieurs (l’École d’ingénieur nationale de Monastir en Tunisie, l’École nationale supérieur des sciences appliquées et de technologie à Lannion, l’École nationale supérieure d’ingénieurs de Bretagne Sud) et à la fondation d’une nouvelle université, celle de Bretagne Sud, dont il assurera plus tard la présidence, avant de devenir recteur de l’académie de Besançon.
Valérie Pécresse a salué l’engagement d’Éric Martin comme professeur d’université en sciences de l’ingénieur. Elle a surtout souligné son importante contribution à l’avancée de la recherche dans le domaine de l’adéquation algorithme - architecture, spécialité à l’interface de l’informatique, de la microélectronique et du traitement du signal.