Tout ce que vous devez savoir sur La Transju’ les 10 et 11 février 2024

Publié le 16/11/2023 - 15:24
Mis à jour le 16/11/2023 - 17:21

Depuis plus de 40 ans, La Transju’ s’est imposée comme la plus grande course populaire de ski nordique en France et continue de grandir. Gérée par Trans’Organisation, elle montre chaque année son dynamisme, s’adapte aux contraintes environnementales et météorologiques et multiplie les projets pour porter l’image du Jura et du Haut-Doubs au-delà des frontières. En 2024, le rendez-vous est donné les 10 et 11 février...

A moins de quatre mois de La Transju’, les inscriptions sont déjà ouvertes et les fondeurs sont déjà au rendez-vous. ”Nous avons ouvert les inscriptions et aujourd’hui, par rapport à la même date l’an dernier, nous avons même une augmentation de 10% d’inscriptions. Nous devrions donc avoir dans les 4.500 participants sur l’ensemble des courses. La Transju’ 2024 promet d’être un bel événement”, se réjouit Pierre-Albert Vandel, président de Trans’Organisation. 

Six épreuves 

Comme à chaque édition, les parcours finaux seront dévoilés lors de la traditionnelle conférence de presse prévue le 5 février 2024, mais d’ores et déjà les épreuves habituelles sont annoncées :

  • En style classique, le samedi 10 février : la Classic 50 km; la Classic 25 km et la Rando Classic 20 km 
  • En courses en skating le dimanche 11 février : Transjurassienne, la Skating 50 km, la Skating 25 km et la Rando Skating 20 km 

Pour ces deux jours de compétitions, les participants ont la possibilité de choisir entre les épreuves en style classique, le samedi et les courses en skating le dimanche. Et pour ceux qui auraient du mal à faire leur choix, ils peuvent cumuler deux épreuves et réaliser ainsi plus de 100 km en deux jours dans deux styles différents. 

Deux parcours au cas où…

Afin de garantir et de s’adapter aux conditions climatiques, les organisateurs prévoient deux parcours de repli pour La Transjurassienne. Outre le parcours historique de Lamoura à Mouthe, deux autres parcours sont pensés afin de permettre l’organisation de la course en cas de manque de neige. ”Nous devons nous adapter de plus en plus aux conditions météo et il revient aux organisateurs d’apporter des solutions simples et efficaces, explique Pierre-Albert Vandel. Nous voulons que La Transju’ soit un rendez-vous pour tous, quel que soit le niveau de pratique et la météo.”

La Transju’ s’adapte à son environnement 

Comme l’explique Pierre-Albert Vandel, ”dans nos épreuves, nous utilisons les pistes empruntées chaque jour par les skieurs ou randonneurs à pied. Nous n’allons presque jamais au-delà. Pour nos événements hivernaux, nous avons privilégié l’idée de nous rapprocher de la neige plutôt que de la produire ou de la transporter. Cela nous oblige parfois à nous replier sur des sites en altitude, souvent un peu plus sensibles, un peu moins fréquentés. Certaines espèces qui ont leur habitat et ont parfois du mal à se mouvoir, comme le Grand Tétras par exemple, peuvent subir un dérangement avec un nombre de skieurs plus important. Mais sachant que nous sommes sur des pistes empruntées chaque jour par les skieurs, ces espèces se sont déplacées. Nous ne sommes pas non plus dans une période de nidation ou de reproduction. Néanmoins, pour limiter au maximum le dérangement, nous ne disposons pas de ravitaillement sur toutes ces zones sensibles. Nous n’y utilisons pas non plus de sono et nous limitons aussi le passage des motos-neiges.”

La piste historique devient permanente 

A l’instar d’une montée de l’Alpe d’Huez pour les cyclistes ou le sentier du Tour du Mont-Blanc pour les ultra-trailers, le tracé de La Transjurassienne représente un must pour les fondeurs. Une piste permanente a ainsi été dévoilée le 7 novembre avec une signalétique composée de nombreux panneaux posés tout au long de l’itinéraire. Plusieurs de ces panneaux, notamment à Bois d’Amont et à Bellefontaine, aux portes de la forêt du Risoux, rappelleront l’importance d’avoir les bonnes pratiques pour concilier sport et respect de l’environnement. Par exemple : ne pas être bruyant, ne rien jeter, respecter les traces sans effectuer de hors-piste, respecter les règles, etc. 

”C’est un projet gagnant-gagnant”, souligne Pierre-Albert Vandel, ”que ce soit pour nous puisque nous aurons l’assurance de pouvoir profiter de bonnes conditions pour nos courses, mais aussi pour les gestionnaires du site qui bénéficieront de retombées touristiques. On peut même prévoir des animations tout au long de la saison de ski et profiter des applications déjà existantes pour permettre aux skieurs de se mesurer sur des tronçons bien précis.”

Le rendez-vous est donc pris pour les 10 et 11 février dans les Montagnes du Jura. 

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