C'est L'Est Républicain qui révèle l'affaire dans son édition du jour. Jacques Grosperrin est intervenu avec succès auprès du ministère pour que son fils, qui a obtenu son CAPEPS cette année, soit affecté près de Besançon et non pas dans la Nièvre. Interrogé par le journal, il dit être intervenu "en tant que père" et qu'il "assume".
Un autre enseignant d'éducation physique a également bénéficié de l'intervention du député.