« À Besançon, il y a un mouvement que je respecte » a déclaré Jean-Louis Fousseret. Toutefois, « je fais la distinction entre celles et ceux qui manifestent leur désespoir et ceux qui viennent casser », a-t-il ajouté. Selon le maire, « il faut que l’on dialogue dans ce pays » pour résoudre la crise des Gilets jaunes.
Mobilier urbain détruit : qui va payer ?
« Ce ne sont pas les Gilets jaunes qui font ça ! » a indiqué Jean-Louis Fousseret, « qui va payer le mobilier urbain cassé ? Ce sont les Bisontines et les Bisontins ».
À ce sujet, le Premier ministre Édouard Philippe a déclaré lundi soir que les casseurs devront payer les réparations du mobilier urbain détruit pendant les manifestations des Gilets jaunes en instaurant un système de « casseur-payeur ». Une bonne nouvelle pour le contribuable…
Par ailleurs, le maire de Besançon a affirmé son « soutien à l’action des forces de l’ordre ».
Un commentaire