Sondage des municipales
Que retient Jacques Grosperrin de ce sondage. Sa réponse, via un communiqué, tient en trois points :
- "Il se passe bien quelque chose de nouveau à Besançon puisque les médias commandent un sondage, au même titre que les villes où le basculement est jugé possible"
- "Les résultats mitigés et difficiles d'interprétations, avec de nombreux scénarii, montrent que tout est incertain... Sauf le fait qu'il y aura bien un second tour et que l’Union sera présente car elle se compose d’une équipe de compétences qui possède l’envie d’un vrai réveil pour notre ville"
- "Le contexte national, pour la 1e fois, aura un impact sur les municipales, y compris à Besançon."
Pour jacques Grosperrin, un sondage n'est pas un science exaxte et ne fait que "tenter" de sonder l'opinion public. "Plusieurs variables complexes doivent être gérées : la méthode de recrutement des sondés, le type de questions posées, mais aussi le besoin de devoir se projeter sur un suffrage à deux tours. Les sondés eux-mêmes ont une attitude qui peut venir biaiser les résultats : nécessité de se valoriser, art du consensus, référence à un leader d'opinion de son entourage. Autant d'éléments qui rappellent que les intentions de vote diffèrent du vote réel. Répondre à une question n'est finalement pas émettre une opinion. À noter par ailleurs que certaines populations ne sont presque jamais sondées comme par exemple les jeunes actifs, peu disponibles et joignables exclusivement sur portable".
Le candidat se réjouit en outre d'en découdre avec son opposant Jean-Louis Fousseret lors d'un débat entre les deux tours le 26 mars et organisé par France 3 Franche-Comté et France Bleu Besançon.