À Besançon, le président des commissaires de justice souhaite "créer des synergies" entre deux anciennes professions

Publié le 20/09/2024 - 14:17
Mis à jour le 20/09/2024 - 11:14

Benoît Santoire, le nouveau président de la Chambre nationale des commissaires de justice, est allé à la rencontre des 64 commissaires de justice de la cour d’appel de Besançon jeudi 19 septembre 2024. Pour rappel, les métiers d'huissier de justice et commissaire-priseur de justice ont fusionné pour devenir des "commissaires de justice". Quels sont les enjeux ? On fait le point.

La profession de commissaire de justice regroupe 3.700 officiers publics et ministériels répartis sur tout le territoire français et régis par leur ordre national sous la tutelle du ministère de la Justice.

Pour le président de la Chambre nationale des commissaires de justice, il est important de "créer des synergies" entre les deux anciennes professions qui ont fusionné, à savoir : le métier d'huissier de justice et de commissaire-priseur de justice.

"Cette profession est toute jeune" (NDLR : depuis le 1er juillet 2022), poursuit Benoît Santoire qui effectue un tour de France des cours d’appel afin "d’expliquer et de faire de la pédagogie" sur la profession de commissaire de justice.

Les missions du commissaire de justice

Certaines missions relèvent du service publique donc seuls les commissaires de justice peuvent les réaliser comme "l’exécution des décisions de justice et la signification des actes judiciaires", précise le président.

Les commissaires de justice ont également d’autres activités comme : le constat, l’activité d’administrateur d’immeubles, de syndic de copropriété et d’intermédiaire immobilier.

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