"La performance est intéressante. Il a fait, dans cette finale, six coups de bras de moins par rapport à la course qui lui avait permis d'établir son meilleur temps en 47"76, lors des Jeux Olympiques à Pékin. Ce qui veut dire qu'il a gagné en puissance", a expliqué Lionel Horter.
"Je sens que j'ai plus de puissance. Quand j'ai la main sous l'eau, je sens que ça appuie", a déclaré le Français.
La veille à Sydney, les Australiens Andrew Lauterstein et Eamon Sullivan ont réalisé respectivement 48"99 et 49"63 sur 100 m libre.
Ce qui n'inquiète pas Amaury Leveaux: "Je nage pour moi sans m'occuper du temps des autres. La comparaison est difficile puisqu'on ne sait pas comment ils ont abordé la course, s'ils sont en phase de travail ou pas. J'avais dit à Lionel que, compte tenu de la fatigue provoquée par les huit courses de la veille, si je faisais moins de 50 secondes ce serait un exploit".