"300 personnes se sont déplacées à Montbéliard et 500 à Besançon", selon la police ce samedi dans les rues pour la "marche pour le climat".
"Nous avons besoin d'un sursaut, d'une rupture politique", explique EELV avant de d'ajouter "il n'existe pas de planète B". Dans son communiqué, le mouvement s'oppose au gouvernement qui "a choisi de céder aux lobbyistes plus soucieux de leurs intérêts : maintien du nucléaire, abandon des objectifs climatiques de la COP21, de la transition agricole et alimentaire, absence de prise en compte du bien-être animal...".
"Le temps des constats est dépassé, l'urgence c'est d'agir. EELV sera toujours présent aux côtés de celles et ceux qui agissent pour les droits du vivant, pour les écosystèmes et la justice climatique", conclut EELV.
"L'urgence climatique est là, la maison brûle et le départ de Nicolas Hulot du gouvernement a fini de démontrer l'incompatibilité de l'écologie et de la lutte contre le changement climatique avec le néolibéralisme de la République En Marche. Cependant Emmanuel Macron s'entête à ne pas vouloir changer de cap avec lanomination de François de Rugy au ministère de l'écologie !", précise La France Insoumise.
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Le mouvement de ce samedi avait aussi était lancé par Alternatiba et les Amis de la Terre