« La parution de publications périodiques émanant des collectivités locales donne souvent lieu à des polémiques car, initialement organes d’information, ils sont souvent l’occasion d’une autopromotion des édiles en place… également directeurs de la publication », estime Jacques Grosperrin dans un communiqué.
« La communication est déséquilibrée et les opposants politiques, quelle que soit leur obédience, ne bénéficient pas d’un espace aussi vaste. Ces parutions peuvent ainsi devenir des outils de propagande », poursuit le député du Doubs.