Les Camponovo licenciés saisissent les prud’hommes
Publié le 02/03/2009 - 07:00
Mis à jour le 18/04/2019 - 12:22
Les deux libraires « virés » de la librairie il y a quelques semaines ont décidé de poursuivre leur ancien patron devant la justice.
Publié le 02/03/2009 - 07:00
Mis à jour le 18/04/2019 - 12:22
Les deux libraires « virés » de la librairie il y a quelques semaines ont décidé de poursuivre leur ancien patron devant la justice.
Un restaurant italien de l’enseigne Vapiano sera installé prochainement, sur une superficie de 180m² environ, dans les derniers locaux disponibles de l’ancienne librairie Camponovo située Grande rue à Besançon.
Alors que Liberty Gym vient d’ouvrir ses portes rue Jean-Jacques Rousseau à l’arrière des anciens locaux de l’ex librairie Camponovo, un restaurant d’une chaine nationale devrait s’installer dans les 200 m² du rez-de-chaussée et du premier étage donnant sur l’angle de la Grande rue à Besançon. Ouverture espérée avant la rentrée 2018.
Le chantier de transformation de l’ex-librairie Camponovo à Besançon va démarrer cette semaine. Inoccupés depuis fin 2012, les 1.800 m2 de surface vont être transformés et devraient notamment laisser la place à un magasin bio.
Dans un communiqué, le maire de Besançon déplore « la triste fin d’un mauvais feuilleton dont les principales victimes sont les salariés et les clients de la librairie« . Mais Jean-Louis Fousseret déclare vouloir être vigilant « à ce que le centre-ville retrouve une grande librairie au plus vite. »
Sans grande surprise, la nouvelle est tombée ce lundi matin à 11h : la librairie Camponovo du centre-ville est en liquidation judiciaire. A la sortie du tribunal de commerce de Besançon, plusieurs employés étaient partagés entre soulagement et colère. Les 39 salariés de la librairie vont être licenciés d’ici 15 jours.
Toujours l’attente. Les délégués du personnel et le patron de Camponovo Jacques Schaer arrivé avec un nouveau plan, étaient convoqués ce lundi matin au tribunal de commerce de Besançon. Le président a placé la librairie en redressement judiciaire avec une période d’observation de six mois. En attendant les salaires du mois de septembre n’ont toujours pas été versés. Ecoutez la réaction de Florence Galiana, déléguée du personnel et qui représente les 39 salariés de la librairie bisontine.
Les payes du mois de septembre ne sont toujours pas tombées. Un mois après la fermeture de la librairie de Besançon et dans l’attente d’un dépôt de bilan, les délégués soutenus par le personnel ont déposé une requête devant le tribunal de commerce pour non paiement des salaires. Ils ont également alerté l’inspection du travail et le parquet de Besançon.
« Voilà, c’est fermé ! ». C’est les yeux au bord des larmes et la main tremblante qu’une des 39 salariés de Camponovo a acté la fermeture de la 10e librairie indépendante de France ce vendredi soir à Besançon, à quelques mètres de l’établissement où se sont réunis quelque 120 personnes.
Les salariés de Camponovo, toujours dans l’expectative sur l’avenir de leur entreprise, organisent une manifestation de soutien.
"À l'époque, c'était moi la coupable", "mes collègues ne me faisaient plus confiance": deux infirmières qui travaillaient à Besançon avec l'anesthésiste Frédéric Péchier ont raconté vendredi 24 octobre 2025 à la cour leur souffrance d'avoir été soupçonnées à tort d'une erreur médicale.
"L'empoisonneur" a-t-il voulu changer de méthode pour moins attirer l'attention? Au procès de l'ex-anesthésiste Frédéric Péchier, les assises du Doubs ont commencé jeudi 23 octobre 2025 à examiner deux cas qui dénotent parmi les 30 retenus au total : les patients concernés n'ont pas subi un arrêt cardiaque, mais une hémorragie massive.
Empoisonner des patients au bloc opératoire pour nuire à l'anesthésiste chargée de les endormir? "C'est délirant", a balayé mercredi 22 octobre 2025 devant la cour d'assises de Besançon l'accusé Frédéric Péchier, sans cacher pour autant son peu d'estime pour la collègue concernée.
L'ancien président Nicolas Sarkozy a quitté mardi matin son domicile pour se rendre à la prison parisienne de la Santé pour y être incarcéré, près d'un mois après sa condamnation pour association de malfaiteurs dans le procès libyen, une détention inédite dans l'histoire de la République. Une demande de mise en liberté a d'ores et déjà été déposée par ses avocats.
Autrefois "pétillante", elle a quitté la clinique "dévastée" après l'empoisonnement présumé de sept de ses patients: le "lourd tribut" payé par une ancienne collègue de Frédéric Péchier, qu'il aurait en outre voulu évincer, a été au centre des débats lundi 20 octobre 2025 devant la cour d'assises du Doubs.
Emmanuel Macron a reçu Nicolas Sarkozy quelques jours avant l'incarcération mardi 21 octobre 2025 de son prédécesseur à la prison parisienne de la Santé où le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a annoncé lundi qu'il lui rendrait visite.
Le troisième homme mis en examen pour le meurtre et le viol d'une adolescente de 13 ans en 1990 en Saône-et-Loire, l'une des affaires du dossier des disparues de l'A6, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, a indiqué lundi 20 octobre 2025 le parquet de Nanterre, sollicité par l'AFP.
Un homme de 29 ans, déjà condamné pour apologie du terrorisme, a écopé de deux ans de prison, dont un ferme, pour de multiples menaces adressées, via le réseau X, au chroniqueur de CNews Erik Tegnér, à qui il reprochait ses positions sur le conflit à Gaza, a indiqué mercredi 15 octobre 2025 à l'AFP le procureur de Montbéliard (Doubs).
Quatorze hommes sont jugés depuis lundi 13 octobre 2025 devant les assises de Paris pour le braquage en 2015 de transporteurs de fonds sur une aire d'autoroute d'Avallon, en Bourgogne, avec un butin estimé à 9,5 millions d'euros raflé par un commando déterminé et parfaitement renseigné.
L'empoisonnement est la seule explication possible à l'arrêt cardiaque suspect d'un patient au bloc opératoire en 2009, a admis lundi 13 octobre 2025 devant la cour d'assises du Doubs l'ex-anesthésiste Frédéric Péchier, qui a continué toutefois à nier fermement en avoir été à l'origine.
Syndrome rarissime, ou intervention malveillante ? La cour d'assises du Doubs, qui juge l'ancien anesthésiste Frédéric Péchier pour 30 empoisonnements, a remonté le temps jeudi 9 octobre 2025 pour tenter d'expliquer les arrêts cardiaques de deux patients en 2009 dans une clinique de Besançon.
L'ex-anesthésiste Frédéric Péchier a contesté que trois arrêts cardiaques suspects survenus en 2009 à la Polyclinique de Franche-Comté, un établissement où il a exercé seulement six mois, aient été des empoisonnements, mardi 7 octobre 2025 devant la cour d'assises du Doubs.
Une défense ébranlée et un comportement abrupt à l'audience : après un mois de procès, l'ancien anesthésiste Frédéric Péchier clame toujours son innocence dans 30 cas d'empoisonnements de patients, dont 12 mortels. Cet homme de 53 ans est soupçonné d'avoir frelaté des poches de produits anesthésiants de patients âgés de 4 à 89 ans afin de provoquer un arrêt cardiaque, dans deux établissements de Besançon.
"Je suis une rescapée de l'affaire Péchier", a témoigné vendredi 3 octobre 2025 devant la cour d'assises du Doubs, Bénédicte Boussard, l'une des 30 victimes d'empoisonnements présumés, dont 12 sont mortes, imputées à l'ex-anesthésiste.
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