Publié le 21/12/2023 - 14:41
Mis à jour le 21/12/2023 - 15:38
Le Chilien a été reconnu coupable de l’assassinat de Narumi Kurosaki, son ex-petite amie japonaise, ce 21 décembre 2023 à la cour d’assises de Vesoul, apprend-on par France Bleu Besançon. Ce dernier a cinq jours pour se pourvoir en cassation pour contester le verdict.
La réclusion criminelle à perpétuité, sans peine de sûreté, avait été requise à l'encontre de Nicolas Zepeda par l’avocat général Etienne Manteaux.
Ce jeudi marque la fin de trois semaines de procès. Le Chilien de 33 ans a finalement été reconnu coupable de l’assassinat de Narumi Kurosaki en 2016. Il a également l’interdiction du territoire français à l’issue de la peine.
Pour rappel, Nicolas Zepeda avait été reconnu coupable par les assises du Doubs en 2022.
Après quasiment trois semaines de procès, c'est l'heure de vérité pour Nicolas Zepeda : les assises de la Haute-Saône vont rendre leur verdict ce jeudi 21 décembre 2023 et dire si le Chilien, jugé en appel, est coupable de l'assassinat de son ex-petite amie japonaise Narumi Kurosaki.
Une nouvelle journée sous un feu nourri de questions attend ce mardi 19 décembre 2023 le Chilien Nicolas Zepeda, jugé en appel devant les assises de la Haute-Saône pour l'assassinat de Narumi Kurosaki, son ex-petite amie japonaise.
La défense de Nicolas Zepeda a demandé ce lundi 18 décembre 2023 le renvoi du procès alors que le Chilien devait s'exprimer pour la première fois sur l'assassinat de Narumi Kurosaki dont il répond en appel devant la cour d'assises de la Haute-Saône, en raison de nouveaux éléments ne figurant pas selon les avocats dans la procédure.
Le Chilien Nicolas Zepeda, rejugé en appel pour l'assassinat de son ancienne petite amie japonaise Narumi Kurosaki, présente un profil "manipulateur", "à la limite de la mythomanie", selon les conclusions d'un expert présentées jeudi devant les assises de la Haute-Saône, objets d'une passe d'armes entre lui et la défense.
Le procès en appel de Nicolas Zepeda devant les assises de la Haute-Saône a été suspendu lundi soir après un malaise de la mère de Narumi Kurosaki, victime présumée du jeune Chilien.
"Souvenirs différents" ou "explications biscornues" ? : Nicolas Zepeda et une témoin se sont opposés lundi 11 décembre 2023 devant les assises de la Haute-Saône autour de traductions de messages en japonais potentiellement compromettantes pour le jeune Chilien, rejugé en appel pour l'assassinat de Narumi Kurosaki.
"Vous faites du mal à tout le monde" : au procès en appel à Vesoul de Nicolas Zepeda, accusé d'avoir assassiné Narumi Kurosaki, un témoin qui assurait avoir vu la victime après sa disparition a été vertement recadré jeudi par l'ensemble des parties.
"Je suis rentré dans cette résidence pour frapper à la porte de Narumi" Kurosaki : accusé de l'assassinat de cette étudiante japonaise en décembre 2016, Nicolas Zepeda a reconnu mercredi pour la première fois, sept ans après, sa présence dans le bâtiment ou vivait l'étudiante japonaise.
"Comme dans les films": au deuxième jour du procès en appel du Chilien Nicolas Zepeda, accusé d'avoir assassiné à Besançon en 2016 son ex-petite amie Narumi Kurosaki, ses avocats ont révélé mardi 5 décembre 2023 des échanges "troublants" entre deux autres étudiants au moment de la disparition de la Japonaise.
La chambre régionale des comptes Bourgogne-Franche-Comté a procédé jeudi 12 septembre 2024 à l’installation de trois nouveaux magistrats et d’un vérificateur lors d’une audience solennelle présidée par Emmanuel Roux, président de la chambre.
La présidente du tribunal administratif de Besançon, Cathy Schmerber, a tenu une audience solennelle de rentrée mardi 17 septembre 2024 pour annoncer les principaux chiffres de l’année écoulée, installer deux nouveaux magistrat(e)s et signer une convention pour promouvoir la médiation sur le territoire.
L'avocat général a requis une peine de 25 ans de réclusion criminelle, vendredi 13 septembre 2024 à Vesoul, à l'encontre de Camille Anguenot, 20 ans, jugée pour le meurtre d'un prétendant dont elle avait caché le cadavre dans un placard en 2021.
"Il y a deux Camille, celle de la vie réelle et celle des réseaux sociaux" : la cour d'assises a passé au crible jeudi 12 septembre 2024 à Vesoul la personnalité de Camille Anguenot, jugée pour le meurtre d’un prétendant dont elle avait caché le cadavre dans un placard.
Le tribunal administratif de Besançon a finalement validé les mesures individuelles de contrôle administratif et de surveillance (Micas) prises à l'encontre d'une adolescente soupçonnée de constituer une "menace pour la sécurité et l'ordre publics" durant les Jeux olympiques, a-t-on appris mercredi.
Camille Anguenot, jugée devant les assises de Haute-Saône pour le meurtre d'un prétendant dont elle avait caché le corps dans un placard, a avoué qu'elle voulait fuir et ne pas rentrer chez elle, lors d'un long interrogatoire mercredi.
Hayette Ben Messaï, la mère du jeune Abdel Malek Ben Messaï, tué à 15 ans d’une balle perdue suite à un échange de tirs rue de Fribourg à Planoise en 2022, a tenu à rappeler son histoire et notamment son attente de la tenue d'un procès. Pour mémoire, elle avait adressé une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur lors de sa venue à Planoise en février dernier.
Un éducateur a été agressé à l'arme blanche mercredi sur son lieu de travail à Valdahon (Doubs) par un habitant de la commune, a indiqué jeudi à l'AFP le procureur de Besançon, Etienne Manteaux, précisant que la victime souffre d'une blessure "superficielle".
L'adjointe au procureur de la République de Besançon, Christine de Curraize, a tenu une conférence de presse mardi 27 août 2024 en fin d’après-midi pour faire le point sur le drame survenu dimanche 25 août dans le quartier Montrapon provoquant la mort de deux hommes.
Une femme de 50 ans a été condamnée à 5 ans de prison ferme lundi 26 août 2024 par le tribunal correctionnel de Besançon pour avoir violemment agressé une octogénaire à son domicile en feignant une livraison de fleurs.
Le juge des référés du tribunal administratif de Besançon a suspendu l’exécution des travaux de destruction du barrage et de l’arrêté préfectoral déclarant d’intérêt général l’opération, a t-on appris dans un communiqué du 23 août 2024.
Le juge des référés du tribunal administratif de Besançon a suspendu les mesures individuelles de contrôle administratif et de surveillance (Micas) prises à l'encontre d'une adolescente soupçonnée de constituer une "menace d'une particulière gravité pour la sécurité" publique, a-t-on appris jeudi 22 août 2024.
