Le PS propose également « le développement d’un véritable service public de la formation professionnelle autour de l’AFPA, des GRETA et d’autres structures. « Mettre en œuvre un service public de formation » est également le vœu d’Europe Ecologie.
La Ligue comtoise annonce un audit de la formation professionnelle et la mise en adéquation entre filières proposées et débouchés. Ecologie solidaire veut consolider les liens avec les entreprises par le compagnonnage et le tutorat et accueillir des projets de formation tournés vers la transition écologique (agroécologie, médecines douces, habitat écologique…).
Pour le Modem, il faut inverser les priorités : « créer des emplois d’abord, former ensuite », ce qui implique « un transfert de l’effort budgétaire de la formation vers le développement économique ». L’UMP veut « remettre à plat le plan régional de formation en adéquation avec les besoins des entreprises ». Même préconisation pour le Front national qui « veut améliorer et adapter la formation aux véritables besoins des entreprises.