La victime s'est rendue au commissariat pour porter plainte contre son petit ami. Après plusieurs investigations (dont l'utilisation des caméras de vidéosurveillance proches des distributeurs), l'homme a été confondu.
Il a reconnu les faits et écope d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité au mois de mars prochain. Une convocation en justice lui est adressée quatre mois plus tard.