"Ce ne serait pas seulement un lieu, mais tout un ensemble de dispositifs. Nous avons toute la communauté professionnelle qui souhaite que nous mettions en place ce dispositif", indique Anne Vignot, la maire de Besançon, qui précise que cette halte santé addiction entre dans la force d’action républicaine (FAR).
Mais où ce lieu sera-t-il installé ?
Lors de la conférence de presse, Anne Vignot a évoqué le cas de Strasbourg, où une halte santé addiction a été installée à proximité de l’ancien hôpital situé en "cœur de ville". Qu’en sera-t-il à Besançon ? "Ce qu’il ne faut pas, c’est mettre un dispositif à l’extérieur de la Ville. Il faut que cela soit accessible au plus grand nombre", précise la maire.
Du côté du calendrier, rien n'est arrêté. La Ville est encore au stade de la réflexion.
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Un commentaire
Le niveau de sécurité à Besançon est déjà tellement bon qu’il faut ajouter de nouveaux problèmes aux problèmes actuels. On manque tellement de drogués, de dealers, de tirs de kalach, d’agressions au couteau, qu’il est heureux de tout faire pour essayer d’atteindre les niveaux glorieux des autres villes tenues par la même tendance politique, comme Rennes, Nantes, Lyon ou Grenoble. Zombieland Place Saint-Pierre ?