Une Bisontine en détresse depuis 4 ans à cause d'une maison inhabitable

Publié le 24/12/2021 - 08:02
Mis à jour le 24/12/2021 - 10:06

Aline, une Bisontine de 38 ans, vit depuis quatre longues années dans l’incertitude suite à des travaux jamais terminés ou mal faits dans sa maison qu’elle a achetée en 2016. Un reportage lui est consacré sur TF1 le 9 janvier 2022. Une cagnotte est en ligne pour lui donner un coup de pouce et lui permettre de vivre dans sa maison, son « rêve d’une vie ».

Depuis quatre ans, Aline vit chez sa maman et son conjoint vit chez la sienne. Depuis 2016, elle rencontre des artisans peu scrupuleux, pas ou peu qualifiés, qui désertent le chantier du jour au lendemain, voire arnaqueurs pour certains la laissant dans une situation difficile autant émotionnelle que physique.

Financièrement, Aline n'arrive plus à suivre. 60.000€ ont été engagés à ce jour pour des travaux pas terminés, mal faits, à refaire. Elle a besoin de 70.000€ pour réussir à vivre enfin dans la maison qu'elle idéalisait pour fonder sa famille et vivre sereinement avec son conjoint.

Elle attend désespérément le retour d'un expert qui tarde à lui donner de date de visite des travaux. "Côté avocat, rien n’avance", précise-t-elle.

Un appel à la solidarité

Trois ans après le début des travaux, elle ose appeler à l'aide en créant un groupe sur Facebook "groupe d'entraide maison Aline #monchantiermagalère" pour tenter de trouver des "mains charitables" prêtes à l'aider pour les travaux. Elle appelle également des fournisseurs qui pourraient lui faire don de marchandises ou "à très bon prix". Elle a également lancé une cagnotte en ligne solidaire pour lui permettre de payer les fournitures manquantes et "rémunérer un minimum toutes ces petites mains si précieuses même si elles ne demandent rien."

Infos +

TF1 diffusera un reportage dimanche 9 janvier 2022 dans l'émission Grands Reportages intitulé "Mon chantier ma galère" à 13h40 pour raconter son histoire.

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Société

Émeutes en Nouvelle-Calédonie : rencontre avec des étudiants kanaks à Besançon

Depuis le 17 mai 2024, la Nouvelle-Calédonie fait face à de violentes émeutes. A l'origine, une proposition de loi constitutionnelle qui modifierait le corps électoral instauré en 1998 avec les accords de Nouméa. Le peuple kanak, exprime son désaccord envers cette réforme. Pour mieux comprendre ces insurrections néocalédoniennes, nous avons rencontré quatre jeunes kanaks, venus à Besançon pour leurs études.

Ancienne maternité La Mère et l’Enfant à Besançon : des architectes s’élèvent contre sa démolition

Alors que l’anciennne maternité La mère et l’enfant située sur le site de l'hôpital Saint-Jacques à Besançon va être démoli à partir du 25 mai 2024, des architectes et membres de la Maison de l’architecture de Franche-Comté s’élèvent contre sa disparition dans un communiqué du vendredi 24 mai. Il considère que ce bâtiment comme remarquable.

Némésis : “Le racisme n’est pas une opinion mais un délit” rappelle le Parti communiste du Doubs

Suite à une nouvelle intrusion du groupe extrême-droite Némésis, dans un événement "familial et festif" dimanche dernier à Dole, le parti communiste du Doubs a annoncé tenir une conférence de presse ce mardi 21 mai 2024 pour "interpeller toutes les forces républicaines du territoire afin qu'elles se mobilisent pour le respect des lois et pour mettre en œuvre des mesures contre les appels à la haine".

“La question n’est pas uniquement la défense des droits, mais aussi leur promotion” (Amnesty International)

Du 17 au 20 mai 2024, l’hôtel de Ville de Besançon accueille l’exposition "We want to break free*". Elle sera ensuite déplacée à la médiathèque Pierre Bayle jusqu’au 1er juin. Sébastien Tüller, responsable de la commission orientation sexuelle et identité de genre d’Amnesty International, nous en parle…

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 16.74
ciel dégagé
le 25/05 à 15h00
Vent
2.51 m/s
Pression
1016 hPa
Humidité
58 %