Début d'année 2016 catastrophique sur les routes : plus de radars dans le Doubs

Publié le 03/04/2016 - 11:07
Mis à jour le 23/05/2016 - 12:47

Après une année 2015 « historique » dans le Doubs en terme de sécurité routière par une diminution du nombre de tués, l’année 2016 commence mal avec déjà 11 morts. C’est pourquoi la préfecture du Doubs installera de nouveaux radars dans le département.

 ©
©

La vitesse excessive est la première cause des accidents, l'alcool est la seconde. Paradoxalement, le nombre d'accident est en baisse ainsi que le nombre de blessés. On en comptait 108 début 2015, depuis début 2016, il y en 105.

"On ne peut pas se satisfaire de tout ça, c'est pourquoi ces derniers temps, un certain nombre de contrôles sont effectués à Besançon, Pontarlier, et Montbéliard" indique Raphaël Bartolt, préfet du Doubs. "Il faut que nous essayions de tenir la baisse de l'insécurité pour se maintenir sur une dynamique positive".

Cette année, plusieurs radars "deux faces" seront installés :

  • Valentigney
  • Etouvants (RD 126)
  • Chappelle (RD 72)
  • Villers-le-Lac (RD 461)
  • Pont-les-Moulins (RD 50 et RD 471)
  • Beure (RN 83)
  • Montbenoît (RD 437)

Début 2017, sur l'A36 à Clerval, sera également installé un radar discriminant pour contrôler la vitesse des poids-lourd.

"Partout où on a mis des radars, ce sont des lieux d'accident. Ils ont permis de réduire de 85% le nombre d'accidents et plus encore la mortalité sur ces lieux" indique le préfet. "Il était donc important de reprendre cette politique puisque pendant 3-4 ans, on avait stabilisé l'installation de ce type de dispositif. Là, on est obligé d'en installer de nouveaux puisqu'au plan national aussi, l'augmentation pendant le mois de février 2016 est de 8,5%".

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Société

Émeutes en Nouvelle-Calédonie : rencontre avec des étudiants kanaks à Besançon

Depuis le 17 mai 2024, la Nouvelle-Calédonie fait face à de violentes émeutes. A l'origine, une proposition de loi constitutionnelle qui modifierait le corps électoral instauré en 1998 avec les accords de Nouméa. Le peuple kanak, exprime son désaccord envers cette réforme. Pour mieux comprendre ces insurrections néocalédoniennes, nous avons rencontré quatre jeunes kanaks, venus à Besançon pour leurs études.

Ancienne maternité La Mère et l’Enfant à Besançon : des architectes s’élèvent contre sa démolition

Alors que l’anciennne maternité La mère et l’enfant située sur le site de l'hôpital Saint-Jacques à Besançon va être démoli à partir du 25 mai 2024, des architectes et membres de la Maison de l’architecture de Franche-Comté s’élèvent contre sa disparition dans un communiqué du vendredi 24 mai. Il considère que ce bâtiment comme remarquable.

Némésis : “Le racisme n’est pas une opinion mais un délit” rappelle le Parti communiste du Doubs

Suite à une nouvelle intrusion du groupe extrême-droite Némésis, dans un événement "familial et festif" dimanche dernier à Dole, le parti communiste du Doubs a annoncé tenir une conférence de presse ce mardi 21 mai 2024 pour "interpeller toutes les forces républicaines du territoire afin qu'elles se mobilisent pour le respect des lois et pour mettre en œuvre des mesures contre les appels à la haine".

“La question n’est pas uniquement la défense des droits, mais aussi leur promotion” (Amnesty International)

Du 17 au 20 mai 2024, l’hôtel de Ville de Besançon accueille l’exposition "We want to break free*". Elle sera ensuite déplacée à la médiathèque Pierre Bayle jusqu’au 1er juin. Sébastien Tüller, responsable de la commission orientation sexuelle et identité de genre d’Amnesty International, nous en parle…

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 11.53
légère pluie
le 24/05 à 21h00
Vent
1.17 m/s
Pression
1017 hPa
Humidité
90 %