Selon la FNAB, l'arrivée d'Emmanuel Macron au pouvoir a "sonné la fin du développement de l’agriculture biologique par l’action de l’Etat, laissant les consommateurs seuls tirer la dynamique et assumer le coût final :
- Trois années de retard de paiement des aides bio jusqu’en 2020
- Refus d’indemniser les fermes bio pour ces retards qui ont entraîné des faillites malgré la reconnaissance de la faute de l’Etat par le ministre de l’agriculture de l’époque
- Suppression du financement de l’aide au maintien dès 2017
- Refus de réunir les groupes de travail sur les paiements pour services environnementaux dans le cadre du travail pour la prochaine PAC
- Objectif de 15% de surfaces bio en 2022 abandonné"
La Fnab estime que les agriculteurs bio auront "66 % d'aides environnementales en moins " avec la mise e place de la PAC par rapport à 2019.