Une brigade franco-suisse inédite d'investigation judiciaire lancée en mars

Publié le 15/01/2014 - 17:42
Mis à jour le 15/01/2014 - 17:44

Une brigade de police mixte d’investigation judiciaire, inédite à l’échelle européenne et dont la création doit être officialisée vendredi 17 janvier 2014, sera mise en fonction au mois de mars prochain à la frontière entre la France et la Suisse, a-t-on appris ce mercredi 15 janvier de sources concordantes.

 ©
©

En gestation depuis un an et demi, ce "groupe d'enquête mixte, permanent et pérenne", qui sera composé dans les premiers mois de deux policiers français et de deux policiers suisses, sera chargé de traiter "les dossiers judiciaires ayant attrait à un bassin de près de 900.000 habitants à cheval sur la frontière franco-suisse", a-t-on indiqué de mêmes sources, confirmant une information de la préfecture de la Haute-Savoie.

"Son territoire de compétence regroupera la Zone de sécurité prioritaire (ZSP) d'Annemasse, créée début 2013 et dont les communes de Gaillard et Ambilly font partie, et l'ensemble du territoire du Canton de Genève, en Suisse", a-t-on ajouté.

Lancée officiellement sous le nom de "Brigade opérationnelle mixte" Franco-suisse, la brigade "Minerve", son patronyme officieux, aura pour objectif de "gagner en cohérence et en rapidité dans le traitement des dossiers transversaux de la grosse délinquance, itinérante et internationale, ancrée dans cette zone".

Basée au commissariat d'Annemasse, cette brigade inédite placée sous le commandement "d'un cadre de la police genevoise et d'un cadre de la police française" ne sera pas opérationnelle avant le 1er mars.

(Source : AFP)

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Société

La marche militante des fiertés revient le 18 mai dans les rues de Besançon

À l’occasion de la journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, le Collectif 17 mai, dont l'assocaition Nouvel Esprit, organise cette année encore une marche militante qui se tiendra samedi 18 mai à Besançon. Après avoir atteint la barre des 1.000 manifestant(e)s en 2023, l'organisation veut passer celle des 1.500 personnes mobilisées.

Dans le Doubs, 7.000 chevreuils bientôt abattus ?

Le préfet du Doubs, par arrêté annuel, conformément aux dispositions prévues par l’article L425-8 du code de l’environnement, a fixé le nombre minimal et le nombre maximal de chevreuils à "prélever" par territoire en prenant compte des "dégâts causés par cette espèce", selon une information du 24 avril 2024. Ainsi, 7.000 chevreuils ”maximum” pourront être tués dans le département pour la saison 2024-2025. Le public peut donner son avis sur cet arrêté.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 14.74
nuageux
le 12/05 à 6h00
Vent
0.78 m/s
Pression
1016 hPa
Humidité
87 %