Affaire Maryvonne : Cyril de Grivel répond à Me Pernet

Publié le 12/08/2014 - 15:20
Mis à jour le 12/08/2014 - 15:20

Par la voix de son avocat, Cyril de Grivel répond aux explications données par Me Pernet 

droit de réponse

Le 7 août 2014 

Droit de réponse de M. de Grivel 

Cher monsieur,

J’ai pris connaissance des déclarations de Maitre Pernet dans le cadre de son droit de réponse. 

Je suis très choqué par les affirmations péremptoires concernant M. Cyril de Grivel qui est un citoyen honnête et dont la probité est bafouée par des accusations mensongères. 

La justice a été instrumentalisée dans cette affaire pour écarter M de Grivel  de sa compagne à cause d'une seule chose de sa singularité connue par la famille de sa compagne ; M. de Grivel est hermaphrodite, ce n'est pas un choix. 

Cette situation n'a pas gêné son histoire d'amour avec Maryvonne mais insupporte la famille de Maryvonne. 

Le seul but a été en accusant de façon mensongère monsieur de Grifel, de faits qu'il  n'a jamais commis et pour lesquels il n'a jamais été condamné,  de briser cette relation singulière. 

C'est chose faite. 

Nous souhaitons dire qu'un fils ou qui que ce soit d'autre, fusse-il psychologue, n'a pas le droit de dire qui peut être le compagnon de qui, qui est toxique pour qui, que la maladie quelle qu'elle soit n'empêche en rien les sentiments et le droit à une vie affective et amoureuse. 

M.de Grivel  souffre de sa séparation et au vu des derniers éléments, sa compagne aussi. Alors, comment accepter une telle situation ? In fine une pub être déposés pour séquestration par Monsieur de Grevellec qui entend faire savoir qu'elle dispose endroit de sa liberté d'aller venir vivre chez elle, mais c'est avoir besoin d'une aide à domicile alors pourquoi lui imposer une maison de retraite. 

Randall Schwerdorffer

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Justice

Le tribunal administratif de Besançon rejette la demande de suspension en urgence des travaux à l’aéroport de Dole-Tavaux

Le juge des référés du tribunal administratif de Besançon a rejeté ce mercredi 28 mai le référé-liberté déposé par plusieurs associations environnementales visant à suspendre les travaux de réfection de l’aéroport de Dole-Tavaux. Le tribunal a estimé que ni une atteinte grave à une liberté fondamentale ni une urgence suffisante ne pouvaient être retenues dans cette affaire.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 21.55
ciel dégagé
le 01/07 à 21h00
Vent
2.62 m/s
Pression
1016 hPa
Humidité
74 %