"J'ai soutenu cette loi essentiellement pour le principe. Mon métier et beaucoup d'autres étant en danger, il me paraissait normal de réagir contre cette banalisation de la muqiue et du cinéma gratuits pour tous", a-t-il déclaré, estimant dans la foulée que "malheureusement, cette loi parait inadaptée et elle n'aura qu'un effet marginal".
Le texte doit être examiné à nouveau par les députés le 28 avril.