Marie-Guite Dufay a fait part de son impatience. « Il faut aller le plus vite possible, avec le moins d’interruptions possible », a-t-elle affirmé avec force, en mettant en avant le « pacte d’alliance » entre les collectivités.
Leurs présidents - qui ont convenu que le chantier commencerait par le tronçon Belfort-Mulhouse - se sont mis d’accord aussi sur une clé de répartition de la part restant à leur charge, une fois déduits les apports de RFF (Réseau ferré de France) et des « extérieurs » (Suisse et l’Union européenne), et la contribution de l’État, qui ne sont pas connus.
Problème: la commission Liebermann chargée de répartir le financement ne se réunira qu'en juin. Cela fait des mois que l'échéance est régulièrement repoussée.