Construire, agrandir ou rénover : trouvez les bons professionnels du bâtiment en lisant mon Artizan !

Publié le 16/10/2017 - 07:00
Mis à jour le 18/06/2019 - 09:54

A l’occasion du troisième anniversaire du magazine gratuit mon artizan, Philippe Lambert, son fondateur, nous parle des objectifs de cette revue ainsi que du nouveau site internet ! Et comme chaque année, mon artizan sera présent au salon de l’habitat du 20 au 22 octobre 2017…

Publi-info

Philippe Lambert, vous venez de fêter les 3 ans de votre magazine « mon artizan ». Pourriez vous nous dire comment est né ce média ?

Philippe Lambert : "À l’origine de cette initiative, il y a deux objectifs, qui me sont venus d’un constat personnel. 

Le premier objectif était de pouvoir répondre à un besoin : celui des particuliers en projet d’habitat. On a tous souhaité un jour faire construire l’habitat de ses rêves, créer son « chez soi » à son idée ou un espace qui nous ressemble… Et bien à ce moment-là, chacun de nous s’est confronté à la vraie question : Qui va être capable de nous réaliser ce rêve sans que cela devienne un cauchemar ? Donc il m’est venu l’idée d’éditer un magazine professionnel gratuit, à destination des particuliers désireux de faire rénover ou construire leur habitat, dans lequel ils puissent trouver des réponses, des conseils, des contacts... sur l’artisanat du bâtiment et tous les métiers périphériques.

Et simultanément, mon autre objectif en créant le magazine était de pouvoir donner la parole aux artisans du bâtiment eux-mêmes. Avec une modeste ambition, celle de réussir à mettre en lumière un secteur d’activité riche de diversité et de savoir-faire, contraint souvent à une pression économique et des concurrents venus de toutes parts. C’est pourquoi j’ai pris la décision de présenter et représenter ces hommes et ces femmes qui ont souvent « la tête dans le guidon » et le téléphone au fond de la poche, au travers d’un magazine intitulé « mon artiZan du bâtiment »." 

Parlez-nous plus précisément du contenu de votre magazine ? 

Philippe Lambert : "Le concept est simple, je donne la parole aux artisans sous forme d’interviews, afin de réaliser un instantané valorisant leurs motivations, leurs choix, leurs spécialités, leurs conseils et leurs valeurs ajoutées, sans oublier leur savoir-être. Pour cela je prends le temps de les découvrir, d'échanger avec eux, et de vous faire partager au travers de portraits leurs compétences, mais aussi et surtout leur grande humanité. Le magazine a pour but avant tout de faire le portrait de professionnels qui vont peut-être devenir les mains de votre ouvrage.

Mais sa ligne éditoriale est axée aussi sur tous les métiers périphériques à l’artisanat du bâtiment. Une rubrique juridique est d’ailleurs en place depuis début 2017, pour que particuliers et artisans obtiennent de l’information actualisée. Nos 3 partenaires (notaires, avocats et assureurs) interviennent chaque trimestre, pour permettre à nos lecteurs d’éviter les petits pièges en matière d’achat, de rénovation ou d’habitat. 

Nos parrains et annonceurs sont également présents dans chacun des numéros; ce sont eux qui nous soutiennent, et ils nous ont accordé leur confiance en choisissant le magazine mon artizan pour être représentés." 

Philippe Lambert, si l’on devait parler d’une mission en particulier, quelle serait pour vous celle de mon artizan aujourd'hui ?

Philippe Lambert : "La mission la plus importante du magazine aujourd’hui est de réussir à établir (ou rétablir) un climat de confiance entre les particuliers et les artisans. Mon artizan veut présenter une image juste et pertinente des hommes et des femmes qui font l’artisanat du bâtiment au quotidien. Croyez-moi, après avoir lu mon artizan, vous ne regarderez plus jamais un artisan de la même manière.

Et je suis certain d’ailleurs, que vous trouverez sans doute votre futur artisan en lisant le magazine ou en vous rendant sur notre site internet." 

Justement, parlez-nous de votre site internet. C’est une nouveauté qui s’est inscrite dans le développement de mon artizan cette année? 

Philippe Lambert : "Oui, mon artizan s’est transformé à l’occasion de sa troisième bougie. Ceci s’imposait, par une présence internet plus complète et plus dirigée, par la refonte du site et de la page facebook (@mon.artizan), pour pouvoir apporter encore plus de services. On retrouve évidemment sur monartizan.com toutes les interviews, astuces, infos, actus (au travers d’un blog et d’articles), mais le site a été aussi repensé. Au-delà du moteur de recherche permettant de trouver tous vos artisans, les particuliers peuvent aujourd'hui déposer en ligne leurs projets de travaux, nous leur sélectionnerons les meilleures entreprises du bâtiment pour répondre au mieux à leurs projets ou à leurs recherches; « Mon artizan » est devenu un interlocuteur à leur service, qui tâchera de les aider ou de les orienter au mieux, sans prétention et toujours gratuitement. 

Aujourd’hui, c’est un webzine, une page facebook, et toujours un magazine papier, ceci pour plus de proximité." 

Vous faites des choix très précis concernant la distribution de votre magazine. Expliquez-nous, comment la version papier est-elle diffusée ?

Philippe Lambert : "Vous pouvez vous procurer le magazine en dépôt libre-service chez nos partenaires (La liste est consultable notre site Internet www.mon-artizan.com), mais vous pouvez également le recevoir GRATUITEMENT par courrier directement à votre domicile ou sur votre lieu de travail : il suffit en un clic de nous laisser vos coordonnées sur le site internet.

Le magazine est trimestriel et toujours gratuit. Je vous invite également à nous retrouver comme chaque année sur le stand mon artiZan au salon de l’habitat, à Besançon ces 20, 21 et 22 octobre, pour une distribution libre du magazine, ou une rencontre conviviale pour échanger sur vos projets."

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Société

La marche militante des fiertés revient le 18 mai dans les rues de Besançon

À l’occasion de la journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, le Collectif 17 mai, dont l'assocaition Nouvel Esprit, organise cette année encore une marche militante qui se tiendra samedi 18 mai à Besançon. Après avoir atteint la barre des 1.000 manifestant(e)s en 2023, l'organisation veut passer celle des 1.500 personnes mobilisées.

Dans le Doubs, 7.000 chevreuils bientôt abattus ?

Le préfet du Doubs, par arrêté annuel, conformément aux dispositions prévues par l’article L425-8 du code de l’environnement, a fixé le nombre minimal et le nombre maximal de chevreuils à "prélever" par territoire en prenant compte des "dégâts causés par cette espèce", selon une information du 24 avril 2024. Ainsi, 7.000 chevreuils ”maximum” pourront être tués dans le département pour la saison 2024-2025. Le public peut donner son avis sur cet arrêté.

Publicités vandalisées à Besançon : les militants écologistes en soutien à l’un des leurs

Les militants écologiques des collectifs Alternatiba, ANV-Cop 21 et Extinction Rébellion ont tenu ce vendredi 3 mai une conférence de presse sur l’esplanade des Droits de l’Homme à Besançon en amont d’une convocation de l’un d’eux par le tribunal judiciaire suite à une plainte de l’entreprise JC Decaux. 

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 22.57
peu nuageux
le 10/05 à 15h00
Vent
3.43 m/s
Pression
1019 hPa
Humidité
52 %