"Heureusement qu'il ne fait pas trop chaud", estime une passante de la rue Bersot où les bacs de poubelles gris n'ont pas été vidés et sont restés dans la rue. N'empêche les odeurs commencent à se faire sentir et on évite de passer trop près des containers.
On imagine le calvaire des Napolitains où la température n'est pas la même qu'à Besançon et où Berlusconi, malgré ses promesses, n'a toujours pas pu régler le problème de la gestion des ordures.
5000 tonnes de détritus sont éparpillées dans la cité italienne où les mariages de ce samedi se tiennent dans un environnement épouvantable pour la vue et, plus encore pour l'odorat.
A Besançon, on n'en est heureusement pas encore là et les éboueurs de la CAGB devraient normalement reprendre du service lundi matin.