"Aujourd'hui, c'est la deuxième phase de la campagne qui doit nous permettre d'avoir un lieu de travail, d'écoute et de projets. On choisit un lieu facile d'accès, c'est-à-dire pas au centre-ville, pas sur la passage du Tram'. Ca a été compliqué de choisir un lieu sur Besançon car le centre-ville s'est actuellement "bunkerisé"" a indiqué Jacques Grosperrin.
"Un lieu de travail ouvert à tout le monde"
"Ce quartier est avant tout un lieu où il y a beaucoup d'habitants, c'est un quartier très vivant, il y a beaucoup de passages. C'est aussi un lieu où il y a beaucoup d'espaces puisque pendant de longues semaines, des équipes viendront avec des thématiques à travailler, je recevrai les habitants, les spécialistes, les professionnels donc il faut que ce soit un lieu de vie, de travail ouvert à tout le monde".