Agents Ginko agressés : J. Grosperrin suggère que les contrôleurs soient armés

Publié le 06/02/2017 - 16:38
Mis à jour le 11/02/2017 - 10:09

Après l’agression de deux agents du réseau Ginko dimanche 5 février 2017 à Besançon, Jacques Grosperrin, président du groupe Les Républicains au conseil municipal et sénateur du Doubs, dénoncent des effectifs « pas suffisants » et souhaite que les contrôleurs « soient au moins équipés d’une bombe lacrymogène ».

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Pour Jacques Grosperrin, "Ce nouvel événement montre que les personnels sont une cible, comme le sont les pompiers, les policiers, les gendarmes, les militaires, les gardiens de prison…"

Il précise que les "effectifs ne sont pas suffisants" et dénonce le manque d'équipement des contrôleurs : "Les contrôleurs sont des personnels assermentés ; cependant ils ne disposent d’aucun équipement digne de ce nom pour faire face à ces actes de délinquance et de violence. Il est souhaitable qu’ils soient au moins équipés d’une bombe lacrymogène - (NDLR arme de catégorie D) - et de bracelets. Certaines villes en France, comme Orléans, ont armé leur police des transports." 

Enfin, le sénateur du Doubs indique qu'"Il est nécessaire que Transdev, avec le soutien de la Communauté d’agglomération du Grand Besançon, rassure les chauffeurs, les contrôleurs, les usagers et la population, et mette les moyens là où il faut pour que chacun puisse se déplacer en toute sécurité et sans avoir peur et sache qu’elle puisse compter sur une Police des transports reconnue et soutenue."

(Communiqué)

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agression ginko février 2017

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