« Il faut que François Hollande prenne toute sa dimension et échappe, d'une certaine manière, au projet socialiste, aux accords PS-Verts, qu'il s'affirme comme un homme d'Etat », a lancé l'ancien ministre sur BFMTV-RMC.
Interrogé sur sa course aux parrainages d'élus pour pouvoir se présenter à l'élection, M. Chevènement, déjà candidat en 2002, affirme être à « la moitié de ce qui (lui) sera nécessaire », soit environ 250 promesses de signatures sur les 500 requises.
M. Chevènement, à qui Lionel Jospin a imputé une partie de son échec en 2002, a par ailleurs expliqué qu'il était candidat dans le « but de faire bouger les lignes » et prôné un « protectionnisme européen », notamment pour faire baisser le niveau de la monnaie européenne, à son sens surévaluée par rapport au dollar.
(source : AFP)