La brigade de sécurisation des transports en commun était en opération de contrôle avec les agents Kéolis lorsque l’un de ces derniers a été pris à partie par un individu qui l'insultait et le menaçait. Lors de la palpation, une bombe lacrymogène a été retrouvée sur lui. Il a été interpellé et placé en garde à vue.
Lors de son audition, le suspect n’a pas reconnu les faits d’outrage, ni les menaces, mais a reconnu le port de la bombe lacrymogène.
À la fin de sa garde à vue, il s’est vu notifier une ordonnance pénale pour le 14 janvier 2026.