Le père du garçon avait fait appel de cette décision devant la commission d'appel régionale de l'enseignement agricole public, qui avait confirmé l'avis du conseil de classe.
Le conseil de classe s'est «basé sur la moyenne annuelle de l'élève et l'évolution de cette moyenne. Or ses notes avaient baissé au troisième trimestre (9,5 de moyenne) et elles étaient insuffisantes dans les matières littéraires et scientifiques qui comptent davantage pour le baccalauréat», a commenté le directeur du lycée. En août, le tribunal administratif avait refusé un référé suspension, estimant que la légalité des décisions de redoublement n'était pas remise en cause par les arguments avancés par le père.