"Fermer mon école, c'est fragiliser mon avenir", "la maternelle est obligatoire, sauf dans mon village où elle supprimée" ou encore "je voulais apprendre à lire et à écrire, mais ils ont fermé mon école", peut-on lire sur les différents visuels lancés par le groupe rassemblement national.
"Sans surprise, nos territoires et particulièrement les plus ruraux, sont victimes d’une casse scolaire dictée par le seul souci de la rentabilité et non par la volonté d’assurer l’avenir de nos enfants. Depuis 2013, ce ne sont pas moins de 1224 classes qui ont été supprimées en Bourgogne Franche-Comté", explique le groupe rassemblement national de Bourgogne-Franche-Comté.