Portrait de Jean-François Humbert, candidat à la Mairie de Besançon en 2014

Publié le 27/08/2013 - 10:54
Mis à jour le 27/08/2013 - 11:58

Ce lundi matin, Jean-François Humbert, 61 ans, sénateur UMP du Doubs, a annoncé sa candidature à la Mairie de Besançon. Retour sur sa carrière politique.

 ©
©

Jean-François Humbert est né le 17 octobre 1952 à Besançon. Après avoir une maîtrise de droit privé, il devient conseiller juridique puis chargé de mission. Il est marié et père de trois filles. 

Sa carrière

Jusqu'en 1995, il est membre associé du bureau politique du Parti républicain. De 1986 à 2010, il est conseiller régional de Franche-Comté. Il es vice-président du conseil régional de Franche-Comté de 1988 à 1992 puis vice président délégué de 1992 à 1998. En même temps, il est également conseiller général du Doubs dans le canton du Russey.

De 1995 à 1998, Jean-François Humbert est président du comité régional du tourisme et secrétaire général du PPDF de 1995 à 2002. Il devient en 1996, délégué national de l'UDF jusqu'en 1999 et dans cette même période, il devient président du syndicat mixte du Pays Horloger. En 1998, il est président du conseil régional de Franche-Comté pendant six ans. Il devient conseiller politique de l'UMP en novembre 2002 jusqu'en 2004.

Au Sénat

Jean-François Humbert est élu au Sénat en 1998 et 2008. Depuis son second mandat, il est membre des commissions des affaires européennes, de la culture, de l'éducation et de la communication. Engagé pour la cause tibétaine, il est depuis 2010, président du groupe d'information internationale sur le Tibet du Sénat. Il est également membre de la commission des Affaires européennes et secrétaire du Sénat. Enfin, il est sénateur UMP du Doubs et président de la commission d'enquête sur le dopage.

En dehors de la politique

Passionné de sport, Jean-François Humbert est ceinture noire de judo et supporter du FC Sochaux - Montbéliard. 

Jacques Chirac lui a décerné et remis la légion d'honneur.

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Politique

Municipale 2026 : à Besançon, le Parti communiste veut “une campagne propre” et s’organise

À désormais huit mois des élections municipales, les négociations sont toujours en cours du côté de la gauche à Besançon avec le parti communiste comme médiateur, qui tient à être le "fil rouge" des discussions entreprises. Mais s’ils tiennent à être acteurs de la municipale bisontine, les communistes ne veulent pas non plus être "les dindons de la farce" et s’organisent pour parer à toute éventualité comme ils nous l’ont expliqué lors d’une conférence de presse ce vendredi 18 juillet 2025. Le parti vient d’ailleurs de nommer Hasni Alem comme chef de file pour l’élection municipale de Besançon. 

Annonces de Bayrou : pour Anne Vignot, ”ce sera une récession”

Suite aux annonces du Premier ministre sur la préparation de la prochaine loi de finances, Anne Vignot, maire de Besançon, a exprimé une vive inquiétude. Dans un communiqué diffusé ce mercredi 16 juillet, l’élue juge sévèrement la politique budgétaire annoncée par le gouvernement. "La situation budgétaire en France est préoccupante, mais nous ne résoudrons pas ce problème en fragilisant encore plus notre structure sociale et économique", prévient-elle.

Municipales 2026 à Besançon : l’appel à l’union de l’association “À gauche citoyens !”

Dans la perspective des élections municipales de mars 2026, l’association bisontine "À gauche citoyens !", membre de la majorité municipale actuelle, lance un appel solennel à l’unité des forces de gauche et écologistes. Dans un communiqué intitulé "Ressaisissez-vous !", elle invite à dépasser les divisions afin de faire front commun contre la droite et l’extrême droite.

Le RN perquisitionné : ”une nouvelle attaque odieuse contre la démocratie”, selon Julien Odoul 

Une perquisition a eu lieu mercredi 9 juillet 2025 au siège parisien du Rassemblement national dans le cadre d'une enquête pour financement illicite des campagnes électorales du parti d'extrême droite en 2022 et 2024, une procédure "politique" a accusé Jordan Bardella. Pour le député de l’Yonne et conseiller régional RN de Bourgogne Franche-Comté, Julien odoul, c’est une ”perquisition scandaleuse”.

Grève : les salariés de France 3 Franche-Comté dénoncent le projet de réforme de l’audiovisuel public

En grève depuis le 30 juin 2025, jour de l’examen du projet de loi par l’Assemblée nationale, les salariés de France 3 Franche-Comté réaffirment leur opposition à la création d’une holding France Médias dans un communiqué du 9 juillet 2025. 

Les réactions en Franche-Comté sur l’adoption de la loi Duplomb

Après l’adoption de la loi agricole Duplomb-Menonville par le Parlement mardi 8 juillet 2025, de vives réactions ont émergé d’un peu partout en Franche-Comté. Partis politiques et groupes d’élus ont fait savoir leur mécontentement par le biais de différents communiqués de presse. 

Fin de la 2G/3G : un enjeu de sécurité et de continuité des services publics pour le sénateur Longeot

Dans un communiqué du 8 juillet 2025, on apprend que le Sénateur du Doubs Jean-François Longeot  a appelé l’attention du Premier ministre sur les conséquences que va entraîner, selon lui et à très court terme, l’extinction des réseaux mobiles 2G et 3G en termes d’aménagement du territoire, et ce, dès la fin de l’année 2025.

Loi Duplomb : comment ont voté les député(e) de Franche-Comté ?

Le Parlement a définitivement adopté mardi 8 juillet 2025 la loi agricole Duplomb-Menonville, qui a fracturé l'Assemblée nationale, notamment sur sa mesure de réintroduction dérogatoire d'un pesticide de type néonicotinoïde. Les député(e)s du Doubs, du Jura, de la Haute-Saône et du Territoire de Belfort ont voté, mais pour ou contre cette loi ? Réponses.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 17.37
couvert
le 20/07 à 06h00
Vent
1.27 m/s
Pression
1008 hPa
Humidité
93 %