Aujourd’hui, les médecins estiment que l’adolescent va mieux et que la justice peut suivre son cours. Ce matin, le juge d’instruction devrait le mettre en examen pour séquestration aggravée et prise d’otages dans un établissement scolaire.
En détention provisoire ?
La question est finalement de savoir que va faire le juge des libertés en attendant le procès de l’adolescent devant le tribunal correctionnel. Deux hypothèses : soit il placera le preneur d’otages en détention provisoire soit en liberté conditionnelle sous contrôle judicaire dans un établissement spécialisé.