Les pluies n'auront toutefois par réussi à effacer le risque allergique puisque sur les départements de la Nièvre et de Saône-et-Loire le risque élevé est dû à la présence des pollens d'ambroisie qui atteignent "de fortes valeurs" avertit ATMO BFC.
Sur le reste de la région, c'est "l'effet cocktail" prévient ATMO BFC de la présence de tout ces pollens qui fait monter le risque à un taux moyen sur la Franche-Comté.
