Sera-t-il celui qui pourra mettre un terme à une gauche réélue dans la capitale régionale depuis la guerre? "La vie politique suit un phénomène de continuité-rupture. Un jour à Besançon, il y aura une rupture. Les Bisontins sont fiers de leur ville et ils ont raison. Mais en parcourant la France, je me suis aperçu que du point de vue économique, par rapport à d'autre villes, Besançon est vraiment à la traîne", estime Jacques Grosperrin.
La Presse Bisontine n°114, en kiosque au prix de 2,20 €